Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

Mercredi (18/01/06)
Photos de moi
--> 2 nouvelles photos

J'adore la littérature...

...mais bon, ca me donne envie de dormir

Ecrit par Despé le lapinou, à 11:32 dans la rubrique Photos.
Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
Lundi (16/01/06)
5. Jaloux

Je suis resté toute l’après-midi dans ma maisonnette. Aucune envie que l’expérience du maudit vaccin ne se répète. Ma gamelle a été remplie. Je m’approche timidement mais la fatigue est toujours présente. Après quelques granulés, je me rendorme.

Ecrit par Despé le lapinou, à 13:34 dans la rubrique Journal de bord.
Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
Mardi (09/08/05)
4. Voyage en enfer.

Deux jours sont passés. Apparemment mes parents adoptifs on décidé de me faire suivre une vie bien rangée. Au réveil j’ai le droit à un câlin. Des petites caresses sur le museau de la part de maman, puis de papa. Au départ cela me faisait peur, mais faut avouer que j’aime bien que l’on me gratte le petit front.

Ecrit par Despé le lapinou, à 23:50 dans la rubrique Journal de bord.
Lire l'article ! (suite de l'article + 4 commentaires)
Jeudi (28/07/05)
3. Que suis je, qui suis-je et à quelle sauce va t-on me manger?

Lorsque je me suis réveillé et j’ai pointé la truffe en dehors de ma maisonnette, les deux humains semblaient occupés en face d’une boite qui émettait plusieurs images à la suite. Le spécimen male mangeait des pétales jaunes qui sortaient d’un sac brillant. C’est incroyable tout ce qu’il mangeait en quelques secondes. J’ai alors compris que mon petit corps ne suffirait jamais à le rassasier. Pourquoi aménager une telle cage pour un petit encas comme moi, sachant qu’il peut trouver deux fois plus de nourriture dans un sac plastique ?

Ecrit par Despé le lapinou, à 23:37 dans la rubrique Journal de bord.
Lire l'article ! (suite de l'article + 6 commentaires)
Mes films préférés

J'ai la chance d'avoir ma cage dans le salon et papa se regarde toujours un tas de films. Du coup il y en a que j'aime beaucoup...

Ecrit par Despé le lapinou, à 13:01 dans la rubrique Pensées.
Lire l'article ! (suite de l'article + 4 commentaires)
Mercredi (27/07/05)
2. Face aux humains

Le voyage dans la boite en carton a duré des siècles. Tout serré, on n’a pas hésité à me remuer, m’oxygéner des odeurs oxydées et polluées.  Puis, on a fini par ouvrir la boite et j’ai atterrit dans une grande cage rouge remplie de paille.

En face de moi, deux humains. Je reconnais celui qui avait la voix aigue et la main chaude. Je sens qu’elle est du sexe féminin. Je ne sais pas comment je sais cela, cela doit être mon instinct animal.

Elle a de longs poils noirs sur la tête, des yeux verts et la peau très blanche. Elle me regarde avec des yeux très doux. Le second humain est plus corpulent et de sexe mâle. Il a des poils a peine plus longs que les miens sur la tête, mais plus foncés. Il a aussi sur le visage, quelques courts poils, la peau mate et des yeux très noirs qui me font un peu peur.

Chacun d’eux, ils pourraient manger mon corps de 30 cm de long, en deux bouchées. Je crois qu’ils ne savent pas à qui ils ont à faire. Je met donc mes oreilles en pointe vers le bas et fonce les sourcils. Mon front en avant, je pourrais attaquer si jamais ils essaient de me toucher, tel que j’ai attaqué le cochon d’inde. Je n’ai pas peur, et je suis persuadé qu’ils sont terrifiés.

Bizarrement ils me sourient et déposent devant moi une gamelle remplie de nourriture. Mon instinct bagarreur me servira donc pour me nourrir, mais les humains restent toujours là, de l’autre coté des barreaux.

Cinq minutes passent, ils me regardent toujours. J’avance vers la gamelle d’un pas prudent. La nourriture est différente que celle que j’ai l’habitude d’avoir. Elle est plus varié et a une meilleure odeur. D’ailleurs cet endroit sent très bon et il n’y a pas de bruits. Il n’y a pas ces courants d’air froids et la paille est toute propre.

 Je me décide à croquer quelques granulés. C’est alors que les humains qui étaient accroupis devant la cage se lèvent. Je m’aperçoit qu’il y a une sorte de maisonnette au fond de la cage, je fonce dedans pour être sur qu’ils ne pourront pas m’attraper. C’est obscur à l’intérieur, mais je me sens en sécurité. Je décide de dormir un peu, même si je suis très stressé, mon corps est fatigué et je tombe dans la paille.

Ecrit par Despé le lapinou, à 23:55 dans la rubrique Journal de bord.
Lire l'article ! (suite de l'article + 0 commentaires)
quelques photos pour mieux me connaitre

Voici deux petites photos prises avec le portable de papa en attendant des meilleurs photos.

  

Ecrit par lapinsympa, à 12:19 dans la rubrique Photos.
Lire l'article ! (suite de l'article + 4 commentaires)
Mardi (26/07/05)
1. Premier souvenir

Le plus lointain souvenir remonte à une époque glaciale. Il y a plusieurs courants d’air très froids et une musique ennivrante composée de guirlandes et cloches. Nous sommes blotis dans une grande boite vitrée. Il y a, je me souviens, mes deux frères et 4 cochons d'indes. Pour se nourrir, nous devons nous servir dans une gamelle où les cochons dindes ont établi leur toilette hygiénique.

Parfois, il faut trier pour ne pas tomber sur de l'alimentation provenant des fesses de ces cochons dindes. Lorsque l’on est à peine sevré, ce n’est pas facile de faire la différence. C’est seulement lorsque l’on sent la nourriture se coller aux deux canines qu’on comprends qu’il ne s’agit pas de granulés.

D’ailleurs avec tout ce qu’ils gobent ces porcs d’inde, on se demande s’il reste des granulés. Heureusement mes deux frères arrivent à prendre quelques réserves avant qu’il ne reste plus que des crottes. Ainsi je peux manger à ma faim grâce à eux.

Et puis les mains sont venues. Elles ont emporté un cochon d’inde. On m’explique qu’une race, plus grosse que le plus gros des cochons d’inde, nous nourri et régie notre bien-être. On appelle ça des être humains. Il parait qu’il faut se méfier, certains nous utilisent comme nourriture. C’est à se moment là que j’ai commencé à me demander pourquoi il y avait des races, pourquoi étions nous les plus faibles, pourquoi avaient t-ils des mains et nous des oreilles qui tombent jusqu’au sol. Irrémédiablement je me suis demandé d’où venions nous et qu’est ce qu’une maman.

Bizarrement, même si j’en ai jamais vu, je savais ce que cela représentait et le réconfort que cela procure. Les corps chauds de mes frères me protègent contre certains courants d’airs, mais ils ne remplacent nullement ce manque en moi.

Puis, sur cette conscience, je me dis que je dois apprendre à me débrouiller seul puisque je suis un orphelin. Je décide alors de ramener de la nourriture à mes frères et me dirige d’une patte décidée vers la gamelle.

Arrivée là, je vois une boule de carotte prête a être croquée. J’en avais jamais mangé mais son odeur m’hypnotisait déjà. Et c’est à peine que je pose mes dents sur la boule de carotte, qu’un cochon d’inde saute sur moi et me griffe la tempe de l’œil. Première douleur, je ne peux plus ouvrir l’œil. Je décide néanmoins de me battre et bouscule le cochon d’inde avec mon museau. Le cochon d’inde vient s’écraser brutalement contre un brin de paille. La carotte est à moi, je comprends que j’ai gagné une rude bataille contre 25 grammes de viande désarticulée de cerveau.

En ramenant la carotte, mes frères me câlinent et me félicite. Heureusement j’arrive a ouvrir la paupière de l’œil endolori, j’arrive a voir même si cela me fait encore mal.


Les mains sont revenues les jours suivants en emportant l’un de mes frères, puis le second. Je reste seul face au cochons d’inde. L’un d’eux, le plus costaux me lance diverse insultes, sans trop s’approcher, de peur que je riposte. Tout y passe : « oreilles de torchon », « grandes pattes » ou encore que je suis « incapable de courir dans une roue ». Mais quel intérêt ?

Les cochons d’inde sont emmenés à leur tour. Finalement je reste seul. La musique s’arrête elle aussi. Une ou deux semaines passent. L’avantage est que je n’ai plus peur de manger les crottes des cochons d’inde. Mais je reste seul, sans pouvoir me blottir. J’ai froid.

Puis les mains viennent me prendre. A leur bout, un corps avec une tête et des jambes. Je suis terrifier par cette vue gigantesque. Je suis emmené en dehors de la cage. Je peux tomber a tout moment d’une énorme chute d’au moins 1m50 de haut. C’est la mort assurée. Je me démène pour me libérer mais mon petit corps n'est pas assez fort.

-         Il a à peine un mois.  Tous les autres lapins sont partis pour Noël, il ne reste plus que celui-ci. Personne n’a voulu le prendre à cause de sa balafre à l’œil.

L’humain qui parle est celui qui me tien et qui m’emmène sur une table. Je comprends son langage, sans explication. De l’autre coté de la table un autre humain. Sa main me touche le museau, j’essai de me débattre même si l’odeur se dégageant de la main est agréable. Elle est chaude.

-         C’est celui-ci que je veux, pas un autre, dis un le corps de l’humain à la voix plus aigue.

-         La balafre ne te dérange pas? réponds une autre voix grave venant de bien plus loin.

-         Non, c’est lui mon bébé lapin..

-         Alors c’est celui-ci que l’on prend.

Immédiatement je suis mit dans une petite boite en carton avec 2 trous pour respirer. Je plonge dans le noir, mais quelque chose me dit que je ne reverrais plus de cochon d’inde d’ici quelques temps.

Ecrit par lapinsympa, à 21:40 dans la rubrique Journal de bord.
Lire l'article ! (suite de l'article + 1 commentaires)
Bienvenue dans mon Blog!

Être un lapin, ce n'est pas facile tous les jours. En l'occurence encore moins dans le monde des humains.

Je suis un lapin nain Bélier. Je vis dans une cage rouge aménagée avec une petite maisonnette et de la paille pour faire mes besoins. Repas matins et soir, des granulés de qualité. Calins 3 fois par jour par ma maitresse. Maitresse, ou l'appeller maman? Elle m'appelle "mon bébé" d'une voix douce quand elle me prend dans ses bras. 'Il' parfois aussi me caline. Lui par contre n'a pas de voix douce, surtout lorsqu'il parle à ma maman.

Tout un ensemble représent mon entourage, je vais m'appliquer à vous le décrire lors de mes prochains textes.

Ecrit par lapinsympa, à 15:51 dans la rubrique Journal de bord.
Lire l'article ! (suite de l'article + 4 commentaires)